LE TOUT PREMIER LIVRE OFFICIEL !
Publié à l'occasion du 10e anniversaire de BTS, ce livre dévoile des anecdotes qui vont au-delà de ce qui a déjà été dit sur BTS et comprend des photos inédites, des QR codes vers des vidéos, et toutes les informations sur la discographie complète du groupe.
Après avoir fait leurs premiers pas dans le monde le 13 juin 2013, BTS célèbrera le dixième anniversaire de leurs débuts en juin 2023. Le groupe de K-Pop emblématique, qui a su se hisser au sommet, est devenu une icône mondiale. Dans ce tout premier livre officiel, ils reviennent sur leur parcours. Ce faisant, BTS choisit de faire un pas de plus sur une voie que personne n'avait empruntée avant, et espère ainsi apporter sa contribution pour un avenir plus lumineux.
BTS y partage des histoires personnelles, les coulisses de leur parcours, à travers des interviews étalés sur plus de trois ans de travail en immersion complète par Myeongseok Kang, qui a déjà écrit sur la K-pop et sur d'autres pop-culture coréennes dans divers médias. Présentées par ordre chronologique en sept chapitres, des débuts de BTS jusqu'à aujourd'hui, leurs voix saisissantes et leurs opinions s'harmonisent pour raconter leur histoire sincère, vivante et profonde. Au cours d'entretiens individuels réalisés sans fard et sans caméra, les BTS abordent leur parcours musical sous de multiples angles et discutent de ce que cela signifie pour eux.
Le livre s'ouvre sur des portraits montrant les garçons de BTS en tant qu'individus et artistes, mais il présente également des photos conceptuelles, ainsi que la tracklist de tous les albums et plus de 330 QR codes. En tant qu'artistes connectés, les membres du groupe BTS ont communiqué avec le monde entier sur Internet et ce livre permet aux lecteurs d'accéder immédiatement aux trailers, aux vidéos de leurs chansons, et plus de contenu encore, pour mieux comprendre tous les moments clés de l'histoire du groupe. Complet, avec la chronologie de toutes les grandes étapes de leur parcours, BEYOND THE STORY constitue une remarquable archive - tout ce qu'il faut savoir à propos de BTS réuni dans un seul livre.
Non content d'être l'un des réalisateurs les plus talentueux et adulés de sa génération, Quentin Tarantino est peut-être le cinéphile qui sait le mieux parler de films et transmettre sa passion incandescente pour le cinéma. Ayant fréquenté dès son plus jeune âge les salles obscures, c'est au Hollywood des années soixante-dix, celui de ses années décisives de formation, qu'il consacre plus particulièrement Cinéma spéculations - un director's cut aussi intellectuellement rigoureux que joyeusement exubérant. Mêlant histoire personnelle, anecdotes truculentes, analyses et critiques de films, Cinéma spéculations offre au lecteur, entraîné par la verve unique et grisante de Quentin Tarantino, une fascinante leçon de cinéma et de vie.
On a beau changer de peau plusieurs fois, on reste toujours le même serpent. Mais ta vision des choses a tout de même radicalement changé, non ? Tu sais, si le jeune Nick Cave pouvait s'autoriser un certain dédain pour le monde, c'est parce qu'il ne savait pas ce qui l'attendait. Je m'aperçois aujourd'hui que ce dédain, ou ce mépris, était un luxe, une afféterie complaisante. Ce jeune homme n'avait aucun sens de la fragilité de la vie, de son caractère précieux. Il ne se rendait pas compte qu'il est difficile mais essentiel d'aimer le monde et de le traiter charitablement. Et, je le répète, il ne soupçonnait pas ce que l'avenir lui réservait. Tiré de plus de quarante heures d'entretiens avec le journaliste Sean O'Hagan, Foi, Espérance et Carnage retrace la vie intérieure de Nick Cave, qui y livre ses méditations sur la foi, la musique, la création, la liberté, l'amour, le deuil... Une plongée dans les rouages de l'inspiration et de la création, ainsi qu'une réflexion sur ce qui nourrit une oeuvre, où l'on découvre avec quelle force espoir, spiritualité et fiction peuvent nous pousser vers l'avant.
"Cry-Baby" avec Johnny Depp dans un de ses premiers rôles ? C'est lui. "Serial Mother" mettant en scène une Kathleen Turner en mère tueuse sur fond pastel ? Lui encore. "Pink Flamingos" avec l'iconique drag-queen Divine ? Vous avez deviné, c'est lui aussi. À 74 ans, John Waters, le "Pape du trash", revient avec un récit à mi-chemin entre Mémoires et livre de conseils dévoyés regorgeant d'anecdotes de tournage et d'expériences personnelles, d'hommages et d'exercices d'admiration (Warhol ; Pasolini ; Tina Turner ; Patty Hearst...), d'humour irrévérencieux et de punchlines ravageuses.
En 2020, près d'un millier de photographies prises par Paul McCartney avec un appareil de 35 mm ont été découvertes par hasard dans ses archives personnelles. Ce trésor oublié raconte la fin de 1963 et le début de 1964 quand la Beatlemania est apparue en Angleterre avant de se répandre au reste du monde à la faveur de la première tournée du groupe aux États- Unis. Ces clichés sont comme les notes qu'auraient prises Paul McCartney pendant cette année exceptionnelle, des notes qui témoignent des moments les plus intimes des Beatles, comme si elles avaient été consignées depuis l'oeil du cyclone.
1964 présente 275 photographies prises par Paul McCartney dans les six villes qu'il a traversées au cours de ces quelques mois : Liverpool, Londres, Paris, New York, Washington et Miami. Nul n'a jamais été aussi proche de John, George, Ringo et de leur entourage pendant ces quelques mois où tout s'est joué.
En feuilletant ces pages, on ne peut s'empêcher de ressentir la troublante et enivrante impression d'être le quatrième Beatles, celui qu'on ne voit jamais sur ces photographies : Paul McCartney.
Traduit en plus de 30 langues et publié en divers formats et éditions, Histoire de l'art est l'un des livres sur l'art les plus connus et un best-seller mondial, avec plus de 8 millions d'exemplaires vendus. Dans ce chef-d'oeuvre de clarté et de concision, l'auteur nous livre une introduction parfaite à l'ensemble du sujet, des peintures rupestres à l'art d'aujourd'hui. Cette édition de luxe va confirmer le succès de ce titre auprès des amateurs d'art et devenir un ouvrage de référence pour les générations futures.
- Dans le monde de l'art, Ernst Gombrich jouit d'une popularité incontestée, auprès des spécialistes comme du grand public. Né à Vienne, il s'installe à Londres en 1936 pour travailler au Warburg Institute, dont il sera le directeur de 1959 jusqu'à sa retraite en 1976. Il a obtenu de nombreuses distinctions internationales, dont un titre de noblesse et l'Ordre du Mérite, et s'est vu décerner les prestigieux prix Goethe, Hegel et Erasmus.
Une édition de luxe de l'ouvrage d'histoire de l'art qui fait autorité dans le monde entier, écrit par l'un des plus éminents historiens d'art du xxe siècle.
- Présentée sous coffret, cette élégante édition pleine toile rend un vibrant hommage au texte classique d'Ernst Gombrich.
- Best-seller mondial depuis un demi-siècle, traduit en plus de 30 langues et vendu à plus de 8 millions d'exemplaires.
- Présente l'histoire de l'art comme « un enchaînement ininterrompu de traditions vivantes qui relie l'art de notre temps à celui de l'âge des pyramides. » - Le cadeau idéal pour les collectionneurs et les amateurs d'art ainsi que pour les millions d'étudiants en arts plastiques qui ont connu l'édition originale.
Terminés les moments fugaces, les petites étincelles de bonheur, j'ai embrassé mon identité à bras-le-corps.
À tout juste vingt ans, Elliot Page éblouit le monde entier dans le rôle phare de Juno. Ce film lui vaut une nomination aux Oscars et marque le début d'une carrière internationale au cinéma.
Mais, en secret, il souffre d'un mal-être indescriptible qui le ronge et le pousse à réprimer de profondes interrogations sur son identité et sa sexualité. Après avoir passé des années à vivre la vie que l'on attendait de lui, il parvient à poser des mots sur sa dysphorie de genre et entame un parcours de transition.
Dans ce texte sincère et bouleversant, Elliot Page nous raconte le cheminement qui l'a mené à faire son coming out trans. Il nous ouvre aussi les portes d'une industrie hollywoodienne en pleine évolution depuis le mouvement #MeToo. À travers des souvenirs sombres ou joyeux, Elliot Page se livre avec sensibilité et justesse dans cet autoportrait lumineux.
Aucun diagramme effrayant. Pas de jargon de club de photo. Le livre qu'il vous faut pour réussir vos photos vous présente toutes les bases : composition, exposition, éclairage, objectifs et, le plus important, l'art de voir et de ressentir.
Destiné à tous les utilisateurs de smartphones, de reflex, de compacts et de bridges, cet ouvrage regorge de conseils techniques qui vous aideront à vous exprimer à travers vos images. Des clichés mythiques de photographes de renom et des créations contemporaines inspirantes vous donneront envie de dégainer votre appareil photo.
C'est vers l'âge de seize ans que Robert Schumann (1810-1856) commence à tenir son journal intime, suivant en cela une vieille tradition chère aux artistes et aux écrivains allemands. Après son mariage avec Clara Wieck (1819-1896), c'est à deux qu'ils le rédigeront tour à tour, chacun prenant la plume pendant une semaine, pour en faire le miroir de leur bonheur, de leurs efforts et de leurs progrès.
Dans ce dialogue de deux âmes musiciennes, il est bien sûr beaucoup question de musique : nous apprenons ainsi quelles oeuvres nouvelles Robert va composer, quels amis viennent jouer chez eux, mais aussi quelle discipline artistique le mari impose à sa jeune épouse et quelles pièces il lui fait travailler.
De part et d'autre de ce « Journal de raison » tenu de 1840 à 1843 par Robert et Clara ont été réunis un choix de documents, de journaux, de lettres et de souvenirs, dont l'ensemble permet de faire revivre, le plus authentiquement possible, la personnalité des deux musiciens en les replaçant dans leur temps, leur milieu et leur famille. Ces textes sont regroupés par époques et précédés d'un commentaire, dessinant ainsi une passionnante biographie.
On doit à Varian Fry le sauvetage, en 1940-41, de figures du monde des arts, et de la science, tels Marc Chagall, Max Ernst, Marcel Duchamp, André Breton, Hannah Arendt... Cette biographie retrace la vie du "Oskos Schindler" Américain honoré par le Mémorial Yad Vashem. À l'originie de la série " Transatlantique " diffusée sur Netflix.
Août 1940. Varian Fry (1907-1967), jeune journaliste, débarque à Marseille, chargé d'une mission secrète par l'Emergency Rescue Committe. Avec 3 000 dollars en poche et une liste de deux cents noms, il doit préparer l'exfiltration d'artistes et de militants qui ont fui l'Allemagne nazie, mais sont susceptibles de lui être livrés " sur demande ", en application de la Convention d'armistice.
Cette liste contient les noms de peintres, de cinéastes et d'écrivains de premier plan - Max Ernst, Hannah Arendt, Lion Feuchtwanger, Heinrich Mann, Hans Bellmer, Victor Brauner, Max Ophüls, Franz Werfel - et ne va cesser de s'élargir. Des artistes français ou réfugiés s'y ajoutent - Marcel Duchamp, André Breton, Arthur Koestler, Victor Serge -, mais aussi de simples familles juives.
Avec le soutien financier de Peggy Guggenheim, Fry parvient à monter une équipe pour fabriquer des faux papiers, cacher ses protégés et repérer des filières jusqu'à Lisbonne ou la Martinique. Au grand déplaisir des autorités de Vichy... et du gouvernement américain, encore neutre dans le conflit. En décembre 1940, il est arrêté et, neuf mois plus tard, expulsé du territoire français.
Sur la base de courriers, de rapports déclassifiés et d'interviews, notamment avec la veuve de Fry, Sheila Isenbeg retrace l'engagement du premier Américain honoré du titre de Juste parmi les nations, en 1996.
Un destin qui a inspiré la série Transatlantique, conçue par la productrice de Unorthodox, tournée à Marseille et diffusée sur Netflix.
Préface de Jean-Michel Guiraud, président de l'Association Varian Fry France.
« Je suis né avec un coeur excentrique. » Irrévérencieux, introspectif et éclairant, Surrender est le récit organisé - mais pas trop - de la vie de Bono autour de 40 chansons de U2.
Artiste combatif donnant le meilleur de lui-même lorsqu'il sait capituler, Bono grandit dans le nord de Dublin - alors que les violences sectaires se multiplient en Irlande -, entre un père catholique et une mère protestante. La perte de cette dernière, alors qu'il n'a que quatorze ans, va nourrir son besoin de famille. Ayant eu très jeune le sentiment d'être quelconque, il consacrera toute son existence à prouver que personne ne l'est. Sa créativité éruptive ne le quitte jamais... et, s'il peine à maîtriser sa colère, il reconnaît avoir un ego « bien plus grand que [s]on amour-propre ». Bono, d'abord activiste à mi-temps, s'engage ensuite pleinement dans la lutte pour l'annulation de la dette des pays les plus pauvres, et persuade les gouvernements - en particulier les États-Unis - de répondre à l'urgence mondiale qu'est le sida, ce qui conduira à la naissance du PEPFAR, à l'époque la plus grande initiative sanitaire de l'histoire de la médecine pour tenter de vaincre une seule et même maladie. Il décrit les militants de l'ONG ONE, dont il est le cofondateur, comme des « factivistes » - des activistes s'appuyant sur des faits -, et son organisation soeur, RED, comme une « drogue d'entrée » dans le militantisme. En quatre décennies, la bande d'adolescents ambitieux deviendra le plus grand groupe au monde. Les fans apprendront pourquoi U2 ne s'est jamais séparé malgré leurs nombreux désaccords enflammés, et décrypteront le sens des morceaux les plus populaires et influents.
Les portes de la vie intérieure de Bono sont ouvertes, avec pour thèmes récurrents le gâchis du potentiel humain et la foi de l'artiste, présente jusque dans son mariage, sa musique et sa guerre contre l'extrême pauvreté. Surrender est aussi une déclaration d'amour adressée à sa femme, Ali, qu'il convie à leur first date la semaine de la première répétition du groupe. C'est elle qui donne le la dans cette pièce, dont le troisième acte questionne davantage qu'il ne répond quant aux causes à défendre. Paul David Hewson, alias Bono, remplit les stades avec U2 depuis quarante ans. Le groupe a vendu 170 millions d'albums et gagné vingt-deux Grammys ainsi qu'une foule de distinctions, notamment la Légion d'honneur.
Le livre, ce grand livre, est une reconsidération totale de l'acteur. Il dépouille l'interprète de ses vanités. Il le dévêt de ses clinquants. Il analyse sans pitié ses faux prestiges. Il détruit le cabotinage. Les milliers de spectateurs qui vont au théâtre le soir, à New York comme à Moscou, à Rome comme à Paris, à Berlin comme à Londres, ignorent que ce qu'ils admirent ici ou là sur la scène, depuis le jeu de l'acteur jusqu'à la tenue des groupes, vient souvent de la leçon de Stanislavski. Il n'est pas de comédien authentique qui n'ait, un jour ou l'autre, emprunté sciemment ou non quelques-uns des sentiers de cette analyse. »
On parle toujours de l'abondante correspondance de Wolfgang Amadeus Mozart en oubliant celle de Leopold, ce père si important dans l 'épanouissement de son talent. On parle toujours des plaisanteries scatologiques du fils en oubliant son véritable humour, celui d'un artiste très conscient de sa supériorité : il l'exerçait pour peindre la société de son temps (aristocrates, musiciens, élèves...) ou pour décrire les inconvénients des voyages, comme le faisait aussi Leopold. Ce sont là autant de sautes d'humour vachardes sur les ridicules du XVIIIe siècle. Elles se savourent comme un opéra bouffe et nous offrent une approche biographique originale sur un génie qui n'a pas fini de nous étonner.
«La première lettre de Vincent Van Gogh à son frère Théo, datée d'août 1872, est envoyée de La Haye. Il a dix-neuf ans. Il ne sait pas qu'il va peindre. La dernière lettre, inachevée, Théo la trouve dans la poche de Vincent qui s'est tiré une balle dans la poitrine le 27 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise. Des dizaines de toiles encombrent sa chambre. Presque quotidiennement, pendant dix-huit ans, Vincent a écrit à Théo. Et Vincent écrit à propos de tout à Théo comme il lui envoie toutes ses toiles. Il lui montre ce qu'il peint comme ce qu'il est. Ces lettres incomparables - des récits, des aveux, des appels - sont nécessaires pour découvrir le vrai Van Gogh devenu mythe... Il n'est pas un peintre fou. Au contraire, solitaire, déchiré, malade, affamé, il ne cesse d'écrire, lucide, comme il traque la lumière.» Pascal Bonafoux.
En 1947, John Steinbeck et Robert Capa voyagent quarante jours en URSS, de Moscou à Stalingrad en passant par la Géorgie et l'Ukraine pour un reportage destiné au New York Herald Tribune.Ce journal traduit par Philippe Jaworski, est pour la première fois publié en français, dans son intégralité avec les photographies de Capa.
Banksy est connu entre autres pour ses oeuvres sur le mur de séparation entre la Palestine et Israël et ses installations sauvages dans les plus grands musées du monde.Dans un monde où nous sommes bombardés de messages publicitaires qui envahissent l'espace public, ses oeuvres offrent un regard différent - un regard à la fois drôle et incisif, sans être dogmatique pour autant.
Ce livre, première traduction française de l'ouvrage anglais Banksy, Walls and Piece, rend compte de cette production artistique hors normes, mélange de subversion et d'ironie, qui interroge sur un mode décalé et percutant, notre réalité sociale et culturelle.
L'ouvrage accompagnera la sortie en France du film Faites le mur ! (Exit through the gift shop), réalisé par Banksy lui-même. Il a été présenté aux festivals de Sundance, Berlin et Deauville.
L'événement est soutenu par une importance promotion médias : partenariat France Inter, Le Monde, Télérama, Les Inrockuptibles, dossier dans Beaux-Arts Magazine.
« Je dois écrire sur mon bonheur de recouvrir un dessin de texte. Entre 7 et 22 ans j'ai cru que je serais peintre. À 22 ans le peintre en moi est mort et j'ai commencé d'écrire des romans. En 2008, je suis entré dans une boutique pour en ressortir avec deux grands sacs pleins de crayons et de pinceaux, le peintre en moi n'était pas mort. » Depuis ptus de dix ans,Orhan Pamuk écrit et dessine quotidiennement dans ses carnets. lI y consigne les événements de la journée, note ses réflexions sur l'actualité, s'interroge sur la construction de ses livres, dialogue avec les personnages de ses romans... Les semaines, les mois, les années passent, et l'auteur reprend, complète, crayonne sans cesse les pages restées vides, donnant naissance à un ensembte foisonnant exceptionneI où s'entremêlent textes et dessins.
Pour la première fois, l'écrivain qui rêvait de devenir peintre révèle ses carnets à travers une sélection personnelle réalisée parmi plusieurs milliers de pages.
Mannequin et photographe, muse et reporter, femme libérée, Lee Miller fut également la première correspondante de guerre américaine. Carolyn Burke révèle ici comment celle qui inspira Man Ray, Cocteau et Picasso a pu aussi photographier sans faillir les horreurs de Buchenwald et de Dachau.
Burke restitue toute la verve et l'énergie de Miller : des traumatismes de sa petite enfance à ses mariages peu conventionnels, du mannequinat pour Vogue à la reconnaissance de son oeuvre photographique en passant par son immersion dans les milieux artistiques internationaux. Cette histoire - richement illustrée - d'art et de beauté, de sexe et de pouvoir, de modernisme et de surréalisme, met en lumière le parcours exceptionnel d'une femme passée du statut d'objet d'art à celui d'artiste.
Carolyn Burke est biographe, critique d'art et traductrice. C'est à Paris, où elle a vécu pendant plusieurs années, qu'elle a fait la connaissance de Lee Miller, juste avant sa mort. Elle vit en Californie.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Marie-Claude Rideau
C'est en 1954 que l'agent de Marilyn, Charles Feldman, contacte Ben Hecht pour lui demander d'aider l'actrice à écrire ses mémoires. À 28 ans, elle a déjà tourné une vingtaine de films, dont ses premiers succès - Niagara et Les hommes préfèrent les blondes - et elle est lasse des inventions et potins des feuilles à scandales. Elle lui dicte les mots qu'il couche sur papier. Pour des raisons personnelles, elle ne poursuit pas ces séances de travail, mais confie le texte inachevé au photographe Milton Greene, son ami de toujours.
Publiés aux États-Unis et en France en 1974, ces textes de jeunesse, intimes et bouleversants, politiques et féministes, sont une révélation.
Qui était Marilyn Monroe ? Qui se cache derrière la pétillante blonde qui va mettre fin à ses jours à 36 ans, en pleine gloire ? Lire cette Confession inachevée, c'est se rapprocher d'elle, entendre sa voix bien reconnaissable dévoiler les deux faces de sa personnalité, les étapes de sa brève existence. D'abord Norma Jean, l'enfant dont la mère est internée, ballottée entre différentes familles d'accueil. La jeune fille crie son manque d'amour et son besoin constant d'attirer l'attention. Puis Marilyn, le sex-symbol qui côtoie et déteste Hollywood, avec ses ratés, ses dragueurs et ses escrocs, qui se heurte à la jalousie des femmes, mais reste lucide sur la tragédie de son milieu d'adoption.
À ce jour, «De Pictura» de Leon Battista Alberti s'est vendu à plus de 7 340 exemplaires.
«La Naissance de Vénus et le Printemps de Sandro Botticelli» d'Aby Warburg s'est vendu à plus de 2 660 exemplaires.
Les yokai, créatures surnaturelles issues du folklore, sont des figures récurrentes de l'art japonais. Esprits vengeurs ou malicieux, ils peuvent déclencher des catastrophes tout comme offrir chance et prospérité à ceux qui les croisent.
Couvrant quatre siècles de création artistique depuis la période d'Edo (1616-1867), ces estampes, peintures, rouleaux illustrés, cartes ou affiches sont conservés au Miyoshi Mononoke Museum (Japon), le seul musée au monde entièrement dédié aux yokai. Avec d'innombrables illustrations en plan rapproché, l'ouvrage propose une expérience unique, une immersion visuelle fascinante dans un monde peuplé d'entités magiques !
«Conversations» est une série de vingt entretiens donnés par le légendaire compositeur Steve Reich.
Figure de proue du mouvement minimaliste aux côtés de Philip Glass ou Terry Riley, sa musique a influencé nombre de jeunes musiciens, chorégraphes ou artistes.
Il s'entretient ici avec des collaborateurs, des compositeurs, des musiciens influencés par son travail. On retrouve des grands noms tels que Brian Eno, Johnny Greenwood (Radiohead) ou la chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker. Avec eux, il revient sur sa carrière, ses inspirations, son approche de la composition...
Ces discussions libres et sans filtre permettent d'entrer en profondeur dans la vie, la pensée et l'oeuvre de Reich. Et de découvrir ainsi les cheminements par lesquels s'est échafaudée la musique de ce compositeur majeur.
« En octobre 2015, alors que j'assistais à une rétrospective artistique majeure à Londres, j'eus une révélation. En regardant autour de moi, je réalisai qu'aucune oeuvre d'une femme artiste n'était exposée. Me vint alors cette question : pouvais-je nommer vingt noms de femmes artistes sans y réfléchir ? La réponse était non. Avais-je exclusivement étudié l'histoire de l'art à travers un prisme masculin ? La réponse était oui. » Combien de femmes artistes connaissez-vous ? Qui « fait » l'histoire de l'art ? Est-ce que les femmes étaient reconnues en tant qu'artistes avant le xxe siècle ? Qu'est-ce que le baroque au bout du compte ?
Découvrez la flamboyante Sofonisba Anguissola à la Renaissance, l'oeuvre radicale de l'Américaine Harriet Powers au xixe siècle et l'artiste qui a réellement inité le mouvement du ready-made incarné par Marcel Duchamp. Explorez l'âge d'or néerlandais, le travail étonnant des artistes d'après-guerre en Amérique latine, et les femmes qui ont impulsé l'art en 2020.
Des Cornouailles jusqu'à Manhattan en passant par le Nigeria et le Japon, voici l'histoire de l'art comme elle n'a jamais été racontée auparavant. Suivant un ordre chronologique mais sans adopter la grille de lecture occidentale des mouvements artistiques et événements politiques, L'Histoire de l'art sans les hommes redéfinit les canons traditionnels en mettant en lumière l'oeuvre d'artistes exceptionnelles qui ont repoussé les frontières et osé défier une pratique artistique dominée par les hommes.