Incontournable Daniel Prévost ! Acteur truculent du paysage culturel français depuis plus de cinquante ans, il a presque tout fait : amuseur pour la radio et la télé, chroniqueur inoubliable du Petit Rapporteur, il est avant tout un comédien boulimique de tournages et de scène... Depuis Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, de son ami Jean Yanne, jusqu'à Maison de retraite, de Kev Adams, en passant par Le Dîner de cons, pour lequel il a reçu le César du meilleur second rôle, il est une des figures emblématiques du cinéma populaire.
On croit le connaître, il s'échappe à nouveau. La preuve en est avec cette Autobiographie de moi par moi (le personnage qu'il s'est forgé est connu pour sa « modestie »), qu'il déroule non pas date après date, mais pensée après pensée, dans un coq-à-l'âne réjouissant.
C'est drôle, c'est décapant - il règle quelques comptes au passage -, mais pas seulement. Car derrière l'humoriste se découvre un acteur passionné, capable de jouer tous les registres, et un homme sensible, profondément marqué par son histoire familiale.
Petit, Antoine de Caunes maîtrisait mal le français. D'ailleurs, chaque fois qu'on lui demandait son avis, il avait la fâcheuse habitude de répondre par un triple pléonasme : « Moi, personnellement, je... » Aujourd'hui, sa pratique de la langue s'est considérablement affinée. Mais il a toujours un avis sur tout, sur des sujets aussi divers que la preuve de l'existence de Dieu ou la réévalution des montants compensatoires. Et il n'hésite pas à aller labourer de son soc volontaire des terres plus intimes. Dans ce livre, il sera question de rencontres interlopes, d'amours musicales, d'amis imaginaires, de vacances, de famille, de clowns, d'armes à feu, de marée basse, de gradés, de dégradés, de chevaux, d'hommes de peu de foi et d'hépatiques. Ou encore d'un chapeau.
Rassurez-vous, il ne s'agit pas de ces austères mémoires qui encombrent librairies et bibliothèques. Plutôt de modestes exercices de style, narrant des histoires plus ou moins drôles et saugrenues, avec ce sens du raccourci qui caractérise l'homme sentant le premier frimas de l'automne de sa vie.
Voilà, en un mot, l'objet de cet ouvrage tant attendu (surtout par son auteur), dont le titre, par sa sobriété, résume tout.
Ladies & gentlemen, Christopher Hitchens ! Journaliste frénétique, contradicteur-né, polémiste de génie, la légende des lettres britanniques nous donne ici son grand oeuvre : parce qu'il y raconte joyeusement sa vie, qu'il y livre ses pensées les plus décapantes, et parce que sa verve au vitriol nous régale toujours comme aucune autre.
Hitchens était tout à la fois : alcoolique et moraliste, progressiste et réactionnaire, anticapitaliste et proaméricain, juif et athée militant, plein d'empathie et vouant une haine profonde à Mère Teresa. Il donne ici une cohérence à ces paradoxes apparents, tous liés par une ironie assassine, un dégoût profond de la pensée tiède et un besoin incessant de gifler les cuistres à la volée. En toute amitié, bien sûr.
Ce n'est pas sans un énorme pincement au coeur qu'on quitte la présentation d'un journal télévisé comme «Le 13heures».
Aujourd'hui, j'éprouve de la fierté mais aussi ce curieux sentiment d'abandonner ceux avec qui j'ai déjeuné chaque jour durant toutes ces années à 12h58 très exactement, au point que j'avais l'impression de faire partie de leur vie...
Maintenant que j'ai décidé de tourner la page, avec la faiblesse de croire que mon «13heures» n'était pas un JT comme les autres, je veux raconter la passion que j'ai mise dans ce métier qui me l'a rendu au centuple.
Une façon de vous faire partager mon bonheur d'avoir passé 33 ans avec vous.
L'histoire d'une entreprise au succès fulgurant.
Pour la première fois, Reed Hastings, cofondateur et président de Netflix, nous révèle comment il a bâti la plateforme vidéo dont les films et les séries sont plébiscités dans le monde entier.
Créé en 1997, Netflix a révolutionné l'industrie de la distribution et de la production audiovisuelles par sa créativité et sa technologie. La règle de Netflix, c'est qu'il n'y en a pas : maximiser la densité des talents sans limite de rémunération, prôner la confiance, la franchise et la transparence, éliminer les contrôles (horaires, vacances, frais) sont parmi les recommandations permettant à chacun de prendre les meilleures décisions.
Avec Erin Meyer, professeure à l'INSEAD Business School, Reed Hastings nous raconte l'histoire d'une entreprise au succès fulgurant - fascinante pour certains, inquiétante pour d'autres - qui n'a pas hésité à remettre en question les codes classiques du management.
Réseaux sociaux, sites internet, radio, télévision, journaux... les sources d'information n'ont jamais été aussi nombreuses. Et le mensonge n'a jamais autant circulé, au point que l'on parle même « d'infodémie », comme d'une maladie. Comment juger alors la pertinence d'une information ? Est-ce que ce que je lis ou écoute est vrai ou faux ? Est-ce une opinion ou un fait ?
Cet ouvrage entend apporter des clés pour apprendre à se repérer dans ce Far West de l'info où l'audience du message l'emporte souvent sur sa qualité, et où les fake news prolifèrent.
Cela signifie savoir démêler le vrai du faux en toutes circonstances, se poser les bonnes questions, douter à bon escient. Cela signifie aussi comprendre les règles de circulation de l'information sur les réseaux, réaffirmer nos droits face à des géants du numérique qui organisent ce que nous lisons et regardons en toute opacité. Car produire, éditer et diffuser de l'information ne s'improvise pas. Cela répond à des règles professionnelles et déontologiques strictes.
Voici donc l'ambition de ce livre : donner les moyens de redevenir acteurs de notre information en utilisant notre plus bel outil, notre esprit critique.
Dominique Farrugia, l'un des fondateurs du célèbre groupe comique Les Nuls, producteur de plus de 25 films, ancien PDG de Canal +, vit avec une sclérose en plaques depuis trente ans.
Souvent sollicité par les médias pour s'épancher sur le sujet, il avoue ne pas aimer se livrer, toucher à l'intime ou être le malade de service.
Dans ce livre, il décide de tomber le masque et de nous raconter l'enfer du décor. Sa vie avec la maladie, ce qu'elle lui a enlevé et ce qu'elle lui a apporté.
À ceux qui croient que notoriété rime avec facilités, il confie sans pudeur, son histoire ponctuée de douleurs, d'instants émouvants ou hilarants, et aussi de rencontres inoubliables.
Mais ce livre n'est pas que ça, il est aussi un gros coup de gueule contre les politiques pour qu'enfin, les handicapés soient considérés.
L'ouvrage sera composé de 4 grandes parties :
Partie 1 : Qui je suis et d'où je viens (son enfance, ses parents, l'école, sa volonté d'indépendance ; ses qualités, ses faiblesses...) ;
Partie 2 : De la restauration à la téléréalité (sa rencontre avec Paga, Giuseppa vue par ses amis Marseillais Bastos, Julien Bert, Paga, etc.) ;
Partie 3 : Une influenceuse pas comme les autres (sa communauté, son mode de partage, la notoriété, ses tatouages, l'acceptation de soi...) ;
Partie 4 : Aujourd'hui. Et demain ? (son histoire d'amour avec Paga, son envie de stabilité, sa confiance en l'avenir, ses rêves et ambitions...) ;
.L'été dernier, Michel Drucker éprouve un coup de fatigue. Une forte fièvre s'installe. En quelques jours, son état se dégrade. Il est admis d'urgence à l'Hôpital européen Georges-Pompidou. Un germe, un streptocoque, attaque sa valve mitrale. Michel Drucker bascule dans le dédale éperdu des maladies cardiaques graves. Les complications s'accumulent. Sa vie est en jeu. En pleine pandémie, l'hôpital se referme sur lui pour plusieurs mois, dans l'isolement, l'incertitude, l'épuisement, l'angoisse...
La boîte noire de son épreuve raconte la course contre la montre de professeurs émérites, des équipes et des soignants salutaires, le bloc, les opérations, la réa, la souffrance... À 78 ans, l'inoxydable homme de télévision, symbole national de la bonne forme, par un sale coup du sort, se voit diminué, fini.
À la fois apeuré et déterminé, peu à peu, il va revenir vers la lumière. Ce récit où il se juge condamné, devient, au fil des semaines, celui de sa renaissance. Une ode à notre santé publique. Un espoir pour tous ceux qui affrontent la maladie. Avant, contre toute attente, un retour ému à l'antenne.
L'exposition « Renaud », dont l'album est le livre officiel, n'est pas une simple exposition biographique. Elle raconte l'univers de l'artiste à travers un paysage visuel autant que musical.
L'ouvrage sera, comme l'exposition, composé de quatre sections qui sont autant de facettes du chanteur : Renaud le révolté, Renaud le poète-portraitiste, Renaud l'engagé et bien-sûr Renaud l'amoureux de l'enfance.
A l'image de l'exposition, le livre proposera d'alterner des sections ancrées dans le réel et des sections plus oniriques qui voient le déploiement de l'imaginaire des chansons. Un basculement entre réel et imaginaire, face lumineuse et face sombre, sera présent tout au long de l'album, tout comme l'humour, à l'image de Renaud.
Côté textes, l'ouvrage sera préfacé avec les deux commissaires de l'exposition, David Séchan, frère jumeau de Renaud, et Joanna Copans, spécialiste de l'artiste et autrice d'un ouvrage sur ses chansons. Chaque chapitre sera accompagné d'un texte signé des proches et meilleurs connaisseurs de Renaud : Jack Lang, Bertrand de Labbey (son agent historique), François Bernheim (« découvreur » de l'artiste), Alain Rey, Riss de Charlie Hebdo, Jean-Pierre Bucolo (son compositeur historique), Titouan Lamazou, Daniel Colling (directeur du Zénith de Paris, Printemps de Bourges, etc.), Helena Van Den Nest (fan belge de la 1re heure, créatrice du 1er vrai et grand site dédié à Renaud « Le HLM des fans de Renaud », Didier Varrod (journaliste, auteur, proche de Renaud) et Jean-Noël Tronc (DG de la Sacem, grand admirateur de l'artiste qui lui aura éveillé la conscience politique durant l'adolescence).
Enfin, riche de plus de 200 iconographies, le livre comportera de nombreuses archives personnelles inédites, manuscrits, dessins et documents rares et photographies.
Préface inédite de Renaud.
Thierry Beccaro compte parmi les animateurs de télévision les plus populaires auprès du grand public, notamment comme présentateur du jeu Motus sur France 2 depuis 1990 ou comme joker de William Leymergie pour Télématin. Depuis plus de 20 ans il s'illustre également comme comédien, notamment au théâtre où il accumule les grands succès populaires à Paris comme en province. Thierry Beccaro, apprécié pour sa bonne humeur et sa gentillesse, a en réalité toujours cherché à lutter et à enfouir un terrible secret qu'il confie pour la première fois : celui d'un enfant battu.
Victime de terribles violences dont le souvenir aura constitué un traumatisme profond jusqu'à ces dernières années, il témoigne aujourd'hui afin de libérer la parole sur ce fléau dont souffrent des milliers d'enfants dans notre pays. Afin de leur montrer qu'il est possible, un jour, d'y échapper et de passer de l'autre côté de la rive...
FAKE NEWS, STORYTELLING, NUDGE, POST-VÉRITÉ, LANGUE DE BOIS... BIENVENUE DANS LE MONDE MERVEILLEUX DU BULLSHIT ! Quel est le point commun entre l'affaire Benalla, le changement de nom de Total, la gestion des masques par le gouvernement lors de la crise du Covid, le pouvoir d'achat « ressenti » et le greenwashing ? Il s'agit d'une certaine manière de représenter le réel, et de le mettre en scène. Le bullshit, ou l'art de « raconter de la merde », a toujours existé. Mais force est de constater que l'activité a le vent en poupe ces dernières années, favorisée par l'émergence de nouveaux codes dans la communication. Et si les « bullshitters » sont toujours plus nombreux, c'est aussi parce qu'ils répondent aux injonctions de leur époque. Car il se passe bien quelque chose dans notre monde et dans notre société, que la langue traduit en mots. Comment, alors, apprendre à démêler le vrai du faux dans la masse d'informations nous parvenant chaque jour ? Comment redevenir acteur de son propre langage ? D'ailleurs, qu'est-ce qu'un langage authentique ? Et comment réenchanter le monde ? ◊ Une vingtaine d'études de cas concrets ◊ Des schémas ◊ Des résumés ◊ Des références scientifiques ◊ Des concepts philosophiques Conçu comme une « petite sémiologie à l'usage des honnêtes gens », voire comme un manuel d'auto-défense intellectuelle, cet ouvrage vous permettra de comprendre par quels rouages cognitifs et comportementaux le cerveau humain se laisse piéger et manipuler facilement. Car les mots et les symboles ont bel et bien ce pouvoir !
Le succès est propre à chacun et à la portée de tous. Moi, je me suis beaucoup plantée. Je me suis mariée, j'ai divorcé (deux fois), j'ai fait des bourdes en plein direct, je suis partie au bout du monde et, de coup de bol en coup de blues, j'ai fini par savoir qui j'étais.
J'entends souvent dire que ça n'arrive qu'aux autres. J'en vois trop abandonner ou même ne pas essayer. Alors, j'ai eu envie de vous raconter mon chemin, pas tout à fait droit, pas vraiment exemplaire, mais qui peut-être fera écho en vous.
Ce livre, je l'ai écrit pour vous parler de la réussite. La mienne, et à travers elle : la vôtre. Bienvenue dans mon grand huit !
Lucide et plein d'autodérision, Michel Drucker s'interroge sur le temps et l'âge. Au détour des couloirs de France Télévisions ou sur les routes de Provence qu'il sillonne à vélo, sa parole est toujours libre et sans fard. Avec autant d'énergie que d'humour, l'homme de télé confesse une autre vocation : celle de médecin généraliste, comme Abraham, son père. Il transmet alors son expérience de la vitalité grâce à la prévention, le sport, l'hygiène de vie, la diététique, le goût des autres, des endives et des carottes râpées. « Une vie de con », lui disait Johnny...
À travers son savoir, des situations cocasses, des moments de doute poignants aussi, il invite chacun à faire de la résistance face au jeunisme ambiant. Profitez-en, c'est un expert !
Une amie qui n'avait jamais rencontré mon père m'a dit un jour, en parlant de lui : « Il aurait pu donner tout ce qu'il n'avait pas. » Elle avait raison. Il est rare, je trouve, qu'un personnage public soit en total adéquation avec la personne que l'on découvre dans la vie privée. J'ai donc écrit ce livre pour rendre autre chose qu'un hommage à mon père. Pour raconter des anecdotes, décrire sa sincérité sans calculs, sans plan de carrière, sans filets... la personnalité de ce père « connu par hasard, sans vouloir le devenir ». Un père qui aimait les autres non pour qu'on dise de lui : « Il est gentil Jean Rochefort », mais parce que les écouter l'intéressait et surtout lui était vital. Pourquoi papa est-il tant aimé ? Une seule réponse, en vérité, et un mot : la sincérité.
Mais lorsqu'un tel personnage disparait... comment faire son deuil ? Comment être digne de lui ? De quelle manière continuer à vivre, sans être hantée par les souvenirs mais sans pour autant oublier ? Comment trouver un compagnon de vie, une présence masculine qui prenne, en quelque sorte, la suite ? De quelle manière, se servir de sa transmission ? Que reste-t-il lorsqu'un tel père disparait ?
Son destin bascule en 1963 : grâce à un scoop époustouflant sur le général De Gaulle, Francelet « entre » à Paris Match à l'âge de seize ans. La suite est un tourbillon, où se mêlent des tableaux volés et pas des moindres, des amitiés célèbres, des services rendus, des fêtes, un soupçon de folie, une bonne dose de courage, et surtout cette volonté de vivre toutes voiles dehors. Photographe à ses débuts mais journaliste dans l'âme, Francelet avoue avoir parfois trahi sa vocation, y revenant toujours, pour épuiser sa passion du métier comme pour brasser des affaires aux quatre coins du globe.
Ne craignant ni les criminels ni les puissants, ne briguant jamais la gloire à laquelle il préfère « le travail bien fait », Francelet a connu la fortune puis ses revers - entre lesquelles la guerre et les prisons.
De la Madrague de Bardot aux palais de Saddam, l'auteur nous entraîne derrière les figures françaises des cinquante dernières années ainsi que dans les coulisses ambiguës de la Ve République. Lucide, sans regrets, assagi peut-être mais encore au coeur de bien des secrets, l'ami ô combien intime de Johnny Hallyday et de Belmondo, le confident de Sagan et de tant d'autres, nous emporte dans sa vie comme on embarque l'Aventure - la vraie.
Enquête sur un sujet tabou : le conditionnement d'une nation.
Qui est Big Brother ?
Le sommet de la pyramide. Le gouvernement. L'administration. Les médias. Les experts. Les idéologues. La pensée unique. Les écrans. Une organisation qui a pris toutes les apparences d'une société libre et démocratique.
Big Brother, c'est la Voix, la rumeur du monde, le bruit de fond qui nous apprend à consommer, à obéir, à penser. Celui qui vous répète tous les jours qu'il faut du pouvoir d'achat, que les inégalités se creusent, que l'immigration est à la fois une chance et un fantasme. C'est lui qui invente des scandales, définit les limites du langage et de la pensée, décide du digne, de l'indigne et du tabou. C'est lui qui vous rend l'enfer confortable.
Français, Big Brother est votre opium.
Vous vous êtes ouvert l'esprit, comme d'autres s'ouvrent les veines.
Recueillant les confidences de journalistes, politiques et hommes d'influence repentis, Laurent Obertone pénètre les arcanes du plus grand système de conditionnement de masse jamais mis en place en France. Il donne enfin un visage à la terreur médiatique, politique et idéologique qui accable notre pays.
Bienvenue dans la République des écrans.
Né en 1984, journaliste et écrivain, Laurent Obertone est diplomé de l'École supérieure de journalisme de Lille, d'histoire et d'anthropologie. Ses deux premiers ouvrages, La France Orange Mécanique et Utøya (Ring, 2013) connurent un retentissement international.
Bien avant les bandes-annonces, quand la télévision prenait le temps d'accueillir ses téléspectateurs par des mots doux, les speakerines ont été pendant plus de quarante ans des hôtesses aimables et jolies, qui présentaient les programmes à venir et comblaient les coupures à l'antenne.
Olivier Minne, qui a été mis à l'antenne par la première speakerine, Jacqueline Joubert, raconte l'âge d'or de la télévision et l'histoire de ces femmes qui ont séduit des générations de téléspectateurs. Jacqueline Joubert, Catherine Langeais, Jacqueline Caurat, Jacqueline Huet, Denise Fabre, Évelyne Leclercq, Dorothée, Évelyne Dhéliat... loin d'être de simples potiches, elles se sont battues pour l'égalité des droits dans un monde dirigé alors par les hommes.
Aujourd'hui, les femmes à la télévision, animatrices ou journalistes, doivent beaucoup à celles qui les ont précédées, audacieuses et volontaires, qui ne pouvaient compter que sur elles-mêmes.
Dans ce livre tendre, nostalgique et souvent drôle, qui retrace l'histoire d'un métier disparu, Olivier Minne nous fait découvrir l'envers du décor et les origines du petit écran.
George R. R. Martin s'est inspiré des plus grands mythes pour composer la toile de fond de son roman incontournable adulé dans le monde entier. L'univers de Game of Thrones est rempli de références mythologiques : des hommes ressuscités par on ne sait quel mystère, des personnages qui ne meurent pas dans le feu ou qui sont capables de changer d'apparence, des dragons, des loups-garous et des hordes de morts-vivants congelés jusqu'à l'os... Que serait Daenerys sans ses dragons ? Qui s'intéresserait à la Garde de Nuit s'il n'y avait pas d'étranges Marcheurs blancs de l'autre côté du Mur ? Et Mélisandre, d'où sort-elle au bout du compte ?
Dans Game of Thrones, les références aux mythologies grecque et romaine (mais aussi nordiques, anglo-saxonnes et arthuriennes) sont légion. Tout autant que les clins d'oeil aux religions et croyances païennes qui donnent cette dimension unique à cette saga que nous adorons tous !
Gwendal Fossois vous invite ici à (re)découvrir l'univers mythologique de Game of Thrones. Vous n'êtes pas au bout de vos surprises...
Le 16 juin 1950, saint Pierre ouvre violemment la porte du bureau des naissances.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? J'apprends que vous comptez faire naître Marc Jolivet demain à seize heures ?
- Oui.
- Montrez-moi la fiche !
Un ange l'apporte en toute hâte. Saint Pierre la scrute.
- Mais c'est criminel ! Il n'est pas du tout fini !
- Pas fini ? Il a quand même deux bras, deux jambes et une tête, le minimum, quoi.
- Qu'est-ce que je lis ? À partir de vingt ans, il ne prendra plus l'avion ? Plus jamais ? Conscience écolo ?
- Non, peur.
Furieux, saint Pierre brandit la liste.
- Quoi ? Et en plus, il ne monte pas dans les ascenseurs, il a peur du bateau et il n'ose pas manger des moules ? En haut lieu, ils nous demandent de concevoir un héros, et vous nous livrez un petit bonhomme hyperphobique, hyperactif... !
Un long silence.
- Comment avons-nous pu en arriver là ?
- La grève des anges, saint Pierre.
Humoriste, comédien, clown, metteur en scène, réalisateur, écolophile et europhile, Marc Jolivet nous raconte, avec sincérité et humour, sa belle existence d'« artist'ocrate » - son enfance difficile, ses étés animés au Club Med, ses années « Récho et Frigo » avec son frère Pierre, ses engagements pour la planète, ses amours et désamours... Au fil d'anecdotes souvent cocasses, toujours drôles, il nous entraîne à la rencontre d'une foule de personnalités : Jeanne Moreau, Daniel Balavoine, Coluche, Raymond Devos, François Mitterrand, Nicolas Hulot, Serge Lama, Daniel Auteuil, Michel Drucker, le fantôme de Jean Jaurès et tant d'autres...
Dans ce récit intime, Moundir livre une facette méconnue de sa personnalité, très éloignée du candidat de téléréalité que le grand public connaît.
Il rend ici hommage à son père, Ali Zoughari, et aux valeurs que ce dernier lui a transmises. Arrivé à Paris avec seulement quelques sous en poche, il n'eut de cesse de montrer, toute sa vie, le chemin du respect, de la sagesse et de la persévérance à ses six garçons. Un héritage qui, pour Moundir, vaut tout l'or du monde. Aujourd'hui père de trois enfants, Moundir souhaite à son tour poursuivre dans cette voie.
Cet ouvrage est aussi celui d'une génération déchirée entre deux pays, se sentant française en Algérie, algérienne en France, mais riche de cette double culture.
?Moundir reversera ses droits d'auteur sur ce livre à l'association Cékedubonheur, qui oeuvre pour améliorer le quotidien des enfants hospitalisés.
Baskets, sneakers, tennis, ou même pompes... Peu importe le nom qu'on leur donne, ces chaussures ont colonisé nos placards en l'espace de quelques décennies. Riches et pauvres, hommes et femmes, jeunes et vieux, la communauté des convertis grandit à vue d'oeil et s'affranchit de toutes les barrières sociales. À l'origine conçues pour pratiquer une activité sportive, elles se portent désormais en toutes circonstances ou presque. Chaque jour, de nouveaux modèles de sneakers débarquent en magasin, proposés par des marques devenues de puissantes multinationales qui se battent pour avoir leur part d'un gâteau mondial évalué à plus de 80 milliards d'euros. Comment une simple chaussure de sport est-elle devenue à la fois un objet indispensable du quotidien et un accessoire de mode planétaire ? Des usines chinoises aux défilés de la Fashion Week parisienne, des boutiques tendance de New York aux marchés de la fripe d'Afrique de l'Ouest, des laboratoires de recherche des grandes marques aux cargos du port de Dubaï, Pierre Demoux a suivi les traces de la basket à travers le monde pour raconter l'histoire de cette chaussure née sur les parcs et terrains de jeux de la seconde moitié du 19ème siècle. Tout au long de ce chemin se croiseront des aventures de pionniers, des rivalités familiales, des succès inattendus, des échecs cuisants, des guerres marketing, des épopées industrielles, des destins de stars et d'anonymes, et parfois même de villes entières, étroitement liés à cet objet à première vue anodin. À première vue seulement. Car derrière le côté cool et ludique, l'histoire de la basket est aussi celle de la mondialisation économique et de la globalisation culturelle.
Les médias et les journalistes sont montrés du doigt dans la société. La profession n'a plus la confiance d'une grande partie du public, qui lui reproche notamment de produire une information insuffisante par sa qualité et sa rigueur déontologique. Elle est donc en partie décrédibilisée, mais aussi confrontée à la révolution numérique qui affecte d'abord la presse écrite, à un moindre degré les médias audiovisuels.
Pourtant, le journalisme conserve son prestige et attire toujours les candidats par milliers. Des jeunes qui se présentent aux concours d'entrée des écoles ; des moins jeunes qui tentent leur chance directement en misant sur les compétences particulières qu'ils ont acquises et cherchent des formations complémentaires en journalisme.
Ce Manuel aborde tous les savoir-faire du journalisme pour l'écrit et le numérique. Cet aspect a été entièrement revu et développé dans cette édition mise à jour et augmentée. L'ouvrage se distingue par son exhaustivité, par son parti pris didactique, par la grande variété des exemples et illustrations. Il donne tous les repères utiles pour exercer une profession en plein bouleversement.
Il détaille notamment les techniques de recherche de l'information et de son traitement, la pratique des vingt-sept genres journalistiques, l'illustration et la mise en pages, la déontologie de l'information.
Il prône un journalisme complet et approfondi, rigoureux dans sa méthode comme dans le comportement éthique que le public est en droit d'attendre des professionnels.
Il est devenu, peu après la sortie de sa première édition en 2002, la référence des écoles de journalisme, dans les quatorze cursus reconnus par la profession comme les dizaines d'autres filières publiques et privées.
Il est aussi la référence de nombreux journalistes et éditeurs dans l'espace francophone, en Afrique en particulier, mais aussi au Québec et en Europe de l'Est.