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Beaurepaire
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1940 - Les Hauts-Clos, à Troyes. Frontstalag 124.
C'est le nom d'un bâtiment en construction entouré de hauts murs, utilisé comme camp de transit par l'occupant allemand pour y parquer les prisonniers en attendant leur transfert en Allemagne. Le jeune soldat Albert Rolland va y être retenu avec des milliers d'autres dans des conditions insoutenables. Après plusieurs mois de captivité, il parviendra à s'évader et rejoindre la zone libre. Puis il décidera de continuer le combat en s'engageant dans la Résistance.
Ce soldat, c'est mon père. Né en 1920 dans un petit village de la Drôme, envoyé au front dès 1939, il a traversé les années de guerre avec la fougue de sa jeunesse et l'espoir chevillé au corps. Peu loquace, il a pourtant livré un jour quelques bribes de son passé. J'ai retracé au mieux son histoire... -
Ce recueil de récits vous fait entrer dans le monde de Nina Somerville, une femme saisie à la quarantaine bien entamée d'une passion intense pour le piano blues. Désireuse de s'épanouir dans sa nouvelle passion, elle achète l'instrument de ses rêves : un magnifique piano à queue. Cette belle acquisition l'amène à découvrir la complexité du métier fascinant et mystérieux qu'est celui d'accordeur de pianos. S'ensuit une série d'aventures musicales, parfois invraisemblables ou hilarantes, voire complètement surréalistes mais également magiques et émouvantes.
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Certains sont partis pour oublier, d'autres par nécessité. Moi peut-être par goût de l'aventure, mais aussi par fierté. J'ai vingt-deux ans, l'âge où le temps est venu pour moi de prendre la route, de donner plus de sens à cette période trop lisse et trop fadasse de ma courte existence. Brûler mes vingt ans et ne pas regretter la suite. Mais aussi pour me sentir plus libre dans cette société devenue trop protectrice, trop sociale à mon goût. Je vais le faire parce que trop de gens passent leur temps à spéculer, à ergoter sur des projets, sans jamais oser franchir le premier pas, dans notre société bien trop aseptisée où notre vie semble orchestrée par des lois de plus en plus contraignantes, répressives. Une société sans surprise, préréglée comme l'est le papier à musique, emprisonné comme les notes entre des barbelés bien trop rigides.
Et puis, il y a mon père, il a connu ce continent noir africain quelque quarante ans auparavant. Pays que j'ai découvert au plus jeune âge de mon enfance, dans le grenier de la maison familiale de vacances en Bretagne, au bout du Finistère.
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Le destin a voulu que Julian Boulven soit présent en cette funeste nuit du 29 février 1960 à la base aéronavale d'Agadir au Maroc quand, en quelques secondes, un terrible tremblement de terre raye de la carte une ville de quarante-cinq mille habitants, faisant plus de quinze mille morts et environ vingt mille blessés. Le jeune Breton, en tant qu'appelé au service national, en mission d'assistance dans cet ancien protectorat français, fait alors partie des mille quatre cents marins épargnés qui participeront aux premiers secours d'urgence.
À son arrivée, il avait pourtant découvert un petit coin de paradis, ensoleillé, aux parfums d'Orient, où cohabitait en bonne entente une population d'origine diverse. Quelques jours plus tard, il se retrouve avec ses camarades de la marine plongé dans la fournaise d'un véritable enfer pestilentiel.
Ce n'est que cinquante ans plus tard, après sa rencontre avec Youssef, survivant du séisme d'Agadir, qu'il raconte ce qu'il a vécu alors qu'il n'avait que vingt ans. L'histoire commence sur sa terre natale nichée dans le golfe du Morbihan, la veille de son départ au service national...
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Dans Petits dialogues en taxi, l'auteure britannique Nicky Gentil conte ses trajets en taxi les plus mémorables depuis son arrivée en France en 1988. Saupoudrés pour la plupart de son humour so british, ses récits couvrent une vaste panoplie de sujets tels son amour pour son pays adoptif, les différences culturelles entre celui-ci et son pays natal, les joies de la parentalité, ou encore l'incontournable thème de sa passion pour le piano jazz, pour n'en citer que quelques exemples.
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Je suis dans mon bureau comme il y a près d'un demi-siècle, dans la salle d'études du lycée Mignet. Dehors, la nuit tombe et confère à cette soirée une douce mélancolie que je ressentais déjà puissamment alors, à l'aube d'une vie désormais largement épuisée.
Je n'ai jamais éprouvé avec force le besoin d'écrire ; je le fais pour évoquer un certain nombre de souvenirs, comme un fleuve qu'il me plaît de remonter, en toute liberté.
C'est mieux ainsi. Ma seule ambition se résume à cette évocation de souvenirs, à ce récit fragmenté d'une existence. Je ne les évoquerai pas dans l'ordre mais simplement comme ils me viennent, avec l'incohérence de la vie et de la mémoire, les partialités du souvenir et de l'humeur.
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Ce sauveteur prénommé Ulysse ; histoires vécues
Michel Epiard
- Beaurepaire
- 25 Octobre 2018
- 9782357672789
Cet écrit n'est pas un énième livre sur la manière d'éduquer un chien, ni un guide sur les méthodes de dressage à cette spécialité si particulière qu'est la recherche en décombres. D'autres, qui ont la maîtrise de l'art, l'ont déjà fait. Ce n'est pas non plus un précis de recommandations pompeuses ou un ouvrage d'éducation canine auquel se sont attelés d'autres prétendants à la science infuse, si nombreux dans le milieu.
L'auteur veut juste raconter l'histoire d'un chien particulier qui avait l'étoffe d'un héros mais qui n'a jamais reçu la moindre reconnaissance de l'autorité qu'il a servie. En faisant le récit de sa vie et de son activité opérationnelle, il fait ainsi l'éloge de son fidèle compagnon avec qui il a partagé une décennie de satisfactions, de déceptions et d'expériences inoubliables ; une manière de lui rendre un vibrant hommage.
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Pendant plus de quatre générations, les Alsaciens ne savent pas s'ils sont français ou allemands. La famille MURY est désunie, ses membres sont éparpillés quand ils ne sont pas refoulés. Vouloir rester français oblige à des sacrifices qui vont de l'isolement à l'exil. Un ostracisme qui sépare douloureusement Marie MURY dans l'Allier, son frère Eugène dans la Drôme, Xavier junior sur le front dans les Ardennes, Joseph exilé à Chicago, Odile en région parisienne et Anne restée en Alsace.
Mais avant eux, d'autres familles ont vécu entre Rhin et Vosges dans des provinces riches de coutumes et d'usages pas si éloignés de ceux du reste de la France.
Tous ces anonymes s'inscrivent dans l'histoire de la famille MURY puis MARINIER, traversant les vicissitudes de la grande Histoire de France, des Vosges et de l'Alsace.
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I wrote this book as a testimony based on my experience so that the future generations learn that it is through sheer will that our family succeeded in reaching this country of freedom, equality and prosperity: France.
Especially now that my dear husband Sully Keo Vong has passed away.
In memory of all those who helped us during our journey across the three countries, Cambodia, Vietnam and Laos, I hereby express all my gratitude. Their precious help boosted our strength to overcome unimaginable horrors.
May the death of the combatants, in particular the Air Force pilots, and all the innocent Khmer people serves as a lesson for the future generations!